Physique
Un mâle blanc, au regard azuré. Dans mon univers j'étais spécial, un loup peu ordinaire au cause de ce rage de glace. Un problème génétique? Je m'en fichais. Un pelage soyeux, digne d'un loup d'Alaska. Un corps long, un poids important, j'avais ce qu'il faut pour résister au froid de mon pays. Très musclé, je chassais le caribou et le mouflon avec mes congénères.
Caractère
On me trouve distant, mais j'avais réussi à conquérir le cœur d'une magnifique femelle, ou plutôt elle avait conquit mon cœur. Depuis qu'elle m'avait quitté, et trompé avec mon meilleur ami, je me suis renfermé sur moi même ne voulant plus créer d'attache avec qui que ce soit.
Je suis un loup assez intelligent, ce qui m'étais d'une grande aide pour chasser les proie et reconnaître toute les petites manigance avec facilité, malheureusement j'ai toujours était superstitieux et rien n'arrivait au hasard, tout était réfléchit d'avance.
Très maniaque sur mon comportement et toute les petites choses, mais cela ne empercher pas d'être aimable avec mes congénères qui était mon opposé.
Histoire
Je suis né dans l'Alaska, un monde magnifique recouvert de neige et de froid. J'ai toujours aimé mon pays et ma vie. J'ai grandi et suis devenu apprenti d'un grand Deruta, il était considéré comme un héros dans notre meute, j'étais fière d'avoir était choisi par l'Arufa pour être son élève. J'y avais vu un signe du destin. Concentré, j'appris tout ce qu'il m'avait enseigné, devenant a mon tour un grand Deruta. On m'apprécié au début pour mes exploits. Toujours un peu solitaire je resté éloigné des autres. Mon meilleur ami était fière de moi et de ce que j'allais devenir. Il resta a mes côté jusqu’à la fin.
Mais un jour je l'ai vu. Elle était grise avec un regard améthyste. Poursuivis par les hommes. Je l'ai secourue, tuant ceux qui la pourchassait. Rien de plus normale, aucun trouble ne c'était installé dans mon cœur, enfin pour le moment. Le lendemain, elle m’avait suivis pendant que je chassais, me disant qu'elle cherchait des herbes pour ses patients, je ne l'avais pas crus et avait compris son manège. Ne voulant pas m’embêter avec une femelle je lui avais dit le fond de ma pensée sur son sujet. Mon ami m'avait dit que c'était une mauvaise idée et qu'elle pouvait m'être bénéfique, mais je ne tenais pas compte de ses propos.
Plus les lunes passées, plus ma popularité baissé. Je compris ce que mon mentor m'avait dit par le passé "le monde n'est pas comme tu le pense". Je savais qu'il était dur et rude, mais pas aussi maléfique. Mais cette louve me poursuivait toujours. Devenant peu à peu solitaire, elle s'approcha de mon antre un soir d'hiver. Elle était recouverte de neige et était frigorifié. Je lui avais fais signe de me rejoindre pour la réchauffer. On passa toute la nuit à discuter et ce fut a cet instant que cœur chavira pour la première fois. Un couple était né, elle était devenue ma nouvelle source de vie, bien qu'elle accepté tout mes défauts et surtout celui de rester à l'écart des autres.
Trois lunes étaient passé, et mon mentor était mort noyé. J'étais le seul à ne pas l'avoir pleuré, car pour moi il avait rejoint un monde meilleur sans aucune souffrance. Devenant à mon tour le meilleur Deruta, je n'eu aucun apprenti à cause de ma mentalité. Tout les secret de chasses, de combats que mon maître m'avait enseigné n'allait jamais être divulgué a qui que ce soit.
Ma femelle était en chaleur, et je refusais d'avoir des petits Elle était furax de mon vœu mais décida de tenté une prochaine fois Toutes ses amis avait eu leur première porté sauf elle, elle était triste mais son amour pour moi ne lui faisait pas baisser les pattes. C'est ce que je croyais.
Je ne voyais plus mon ami étant devenu un membre fantôme, je chassais en solitaire pour nourrir ma meute. Elle s'approcha de moi après une chasse, le ventre gonflé, je ne l'avais pas engrossée car je en désirait pas d’hérité. Puis je compris. Ils passaient beaucoup de temps ensemble pendant mes chasses, car elle me disait que les autres louves ne lui adressait plus la parole a cause de moi, que mon ami était le seul avec qui elle pouvait avoir une véritable conversation. FOu de rage je parti en direction du camp et m'attaqua à mon ami.
Non, Méor, ne fais pas ça, je ne veux pas que mes bébés vivent sans père. Je t'aime, ne fais pas ça.Ses paroles ne m'arrêtèrent pas elle hurler de toute ses forces, "le monde n'est pas comme tu le pense". Il avait raison il était encore pire que ce que j'avais pensées. Déstabilisé, il planta ses crocs dans la gorge, hurlant de douleur, il me lâcha. Le sang giclait sur le sol blanc de l'Alaska.
Tu m'avais dit que même les astres n'était pas suffisamment puissant pour détruire notre amour, j'étais bien naïf, mas cette erreur ne recommencera jamais. Je ne veux plus te revoir, et j'espère que t'es louveteaux te maudiront quand il apprendront comment il ont était conçus. Tu peux être leur père tu sais, je ne veux pas te quitter, tu es tout pour moi,
ce que j'ai dit c'est vrai.Tu m'a déjà perdu. Je ne veux pas de ses choses qui grandisse dans ton ventre.Avec les dernière force qui me restais, je me levais et parti de la meute, elle pleurait à chaude larmes, mais cette fois je ne me retournais pas pour la consolé. Je meurs de mes blessures.
Maître je vous rejoins.Elle s'approcha de moi avec mon physique, sa voix si douce et si lointaine. Elle m'avait dit que tout mes malheur serais finis, est-ce que mon destin me resservais encore d'autre surprise? Un serpent à mes côtés, je rejoignis la meute des vivants.
Une dizaine de lunes plus tard, je l'ai rencontré cette louve au pelage blanc comme le mien. elle pleurait, et me rappeler ma femelle, mais je m'approchais d'elle car elle ne m'avait rien fais. Elle désirait rejoindre les revenants pour oublier sa peine. Je lui racontais alors mon histoire et la pris sous mon aile, pas que je l'aimais, mais elle ne devait pas désirer la mort, pour la mémoires de sa sœur, elle devait vivre une vie heureuse.
Jusqu'à ce qu'elle soit en état de vivre de manière autonome j'étais resté avec elle, toujours un peu solitaire, elle m'aidait à devenir plus proche de mes congénères. Elle me rappeler ma femelle, mais aucune colère ne faisait surface pourtant, Ganma comme elle, elle n'avait jamais essayé de soigner la cicatrice qui habitait mon cœur et ne m'avait jamais posé de question.
Au final elle devint comme ma fille adoptive, elle qui avait oublier la vie de famille, je lui en avait apporté une. Moi qui ne voulais jamais d’hérité j'étais heureux que mon savoir se perpétue dans sa ligné, un jour je serais grand-père et je leur apprendrais l'art de la chasse et du combat.
Liens Existants
Nayra, fille adoptive